La santé c’est un état de bien-être, le corps étant libéré de la souffrance, un état dynamique de sérénité et de calme, l’émotion étant libérée de la passion, un état de prise de conscience de la réalité des choses, le mental étant libéré de son égocentrisme             Dr André Roux

Les Maladies cardiovasculaires (MCV) restent la première cause de mortalité mondiale. En France, deuxième cause de mortalité (20%) derrière les cancers (25 %)   avec 15 millions de décès par an en 2020 (dernier recensement officiel) dont 100 000 IDM chaque année.

En France, c’est la 2eme cause de mortalité chez les hommes et la 1er cause chez les femmes surtout après la ménopause. 55 % des accidents aigus sont fatals chez les femmes contre 43 % chez les hommes du fait, encore actuellement ,  d’un retard de diagnostic chez les femmes.Une mauvaise compliance thérapeutique, très fréquente depuis quelques années, alourdit encore ces chiffres.

C’est  aussi la première cause d’hospitalisation dans notre pays. Chez les patients cardiaques qui survivent, après 60 ans l’espérance de vie est diminuée de 10 ans. On observe depuis quelques années des IDM entre 50 et 55 ans chez des patients ayant peu de facteurs de risque apparants et même en général plutôt sportifs.

Les régions du Nord–Pas–de–Calais et surtout les DOM TOM présentent une importante surmortalité par rapport à la moyenne nationale.

Ces chiffres sont en diminution (- 40 % depuis 1980) sauf pour les patients de moins de 60 ans et les femmes où ils ont triplés et continuent de  progresser. Les femmes ont adopté le même mode de vie à risque que les hommes et y sont plus sensibles surtout après la ménopause. Le risque hormonal, une réponse thérapeutique moindre et une prise en charge médicale parfois insuffisante expliqueraient ce décalage entre hommes et femmes.

Du coté des médecins cardiologues, une conférence de presse de la Société Française de Cardiologie en février 2022 souligne l’effet inquiétant de la mort des patients cardiaques sur les professionnels de santé. En effet sur une enquête menée sur 800 cardiologues 80 % présentent un taux élevé d’épuisement professionnel (45 %), de burn-out, d’anxiété généralisée, de signes de dépression (30%)  et de stress post traumatique (30%).

Ici ne sont abordées que les pathologies dites ischémiques, les plus fréquentes comme l’infarctus du myocarde (IDM) ou l’accident vasculaire cérébral (AVC).

Les pathologies valvulaires, rythmique ou congénitales ne sont pas concernées.

A savoir qu’un article récent tenderais a démontrer que le mode de vie est aussi un facteur important pour les pathologies rythmiques et valvulaires, en particulier le rétrécissement aortique calcifié, si fréquent et surtout les dégènerenscence de bio prothèses implantées.

uomo che cammina accanto al muro e alla strada durante il giornoLes  MCV sont des pathologies de notre civilisation et leurs origines se trouve dans notre mode de vie. Neuf fois sur 10 elles auraient pu être évité par des moyens finalement assez simples et qui sont à la porter de tous.

A ce jour les conseils de mode de vie prodigués pour éviter les MCV sont valables pour l’ensemble de l’organisme avec en premier lieu les dégénérescences cognitives et les cancers. 

Ces moyens ne consistent pas a consulter un médecin, a effectuer régulièrement des « check up » a partir d’un certain âge et encore moins a suivre des traitements médicamenteux particuliers.

Comme il l’est suggérer depuis des millénaires par les médecines ancestrales prévenir l’apparition de la maladie relève de notre quotidien c’est a dire de ce que nous mangeons, de ce que nous faisons et même de ce que nous pensons et ressentons.

  • On parle de prévention primaire quand il s’agit d’éviter l’apparition d’une maladie

Dans certains cas la prévention primaire peut aussi consister a réaliser des examens médicaux dans une population a risque.

Par exemple on pourra proposer un test d’effort chez un patient sédentaire qui désire reprendre le sport et qui a plus de 50 ans a fortiori si celui ci est fumeur où a des antécédents familiaux de cardiopathies.

Pour que ces tests de dépistages médicaux soient utiles ils ne doivent être réalisés que chez des individus qui ont un risque accru de maladie par rapport à celui la population générale. Si ces examens sont réalisés chez tout le monde sans discernement, le pourcentage de résultats faussement positifs ou faussement négatifs sera trop élevé. Le coût pour la société est trop grand (et les fonds diminuent pour soigner les vrais malades) et surtout d’autres examens parfois dangereux devront être réalises pour rassurer des patients inutilement inquiétés.

  • La prévention secondaire consiste à diminuer la récidive d’une maladie chez un patient qui l’a déjà déclaré une fois.

Parfois la prévention médicale consiste  pour le médecin à proposer, dans certains cas, des examens complémentaires dans une population a risque.

Pour le patient, la prévention consiste a adopter un mode de vie adapté a la physiologie de l’organisme en accord avec sa programmation génétique et l’environnement afin de stimuler ses mécanismes de régénération, d’auto-guérison, de défense et de maintenir l’équilibre intérieur (homéostasie) malgré les changements du milieu extérieur.

En d’autre terme c’est vivre en accord avec la Nature.

J’ai commencé ce travail a partir de lectures, de formations, de congres…il y a plus de 25 ans. A cette époque insister sur le mode de vie était plutôt novateur. Actuellement la plupart des notions exposées ici sont connues de beaucoup de patients mais pas toujours utilisées de manière efficientes. Le mode de vie optimale ne remplace pas le traitement allopathique !

En d’autre therme, suivre scrupuleusement les conseils hygienno-dietetiques ne dispense en rien de rester complient aux traitement prescrit par le médecin d’autant que les symptômes en cardiologie sont bien souvent trompeurs ou même absents.

Dans les pays riches le mode de vie s’est considérablement et rapidement modifié rendant difficile l’adaptation des organismes vivants.

L’alimentation industrielle, la sédentarisation, l’urbanisation, la surpopulation, la pollution, la surexploitation des richesses naturelles, le surinvestissement matérialiste, la médiatisation et la manipulation du savoir, l’accélération des rythmes de vie, l’exigence d’une réussite individuelle au détriment des autres, la suspicion paranoïaque envers l’industrie pharmaceutique et la prescription médicale,  sont autant de facteurs auxquels il est encore bien difficile, pour chacun de nous de s’adapter.

Difficile de ne pas souligné dans cette introduction, l’importance de la relation médecin- malade qui est tellement importante pour le pronostique. Même si il incombe aux soignants de s’adapter aux profils psychologiques des patients face a la maladie, une certaine empathie voir reconnaissance du malade est souvent indispensable aux bons soins dispensés. Il en va de même de témoigner un minimum d’intérêt pour sa maladie et de suivre le plus possible les traitements dispensés (en 2020, 50 % des produits prescrits ne sont pas achetés et 30 % seulement des achetés sont consommés selon la prescription) et d’avertir le prescripteur en cas d’effets indésirables sans incriminer systématiquement le produit délivré.

Pour en revenir a la prévention cardiovasculaire.

Comment maintenir notre équilibre physique et psychique malgré ces bouleversements de l’environnement ?

Quelle ligne de conduite peut on suivre pour vivre pleinement en évitant le plus possible la maladie, souffrance physique et la douleur morale ?

Les grands cadres référents de nos ancêtres comme la religion, la philosophie, la spiritualité et la morale sont considérés comme dépassés, inadaptés et inutiles au monde moderne. Le stress social peut être envisagé comme un effort de sur-adaptation inefficace. Chacun de nous y est soumis mais chacun de nous y participe et le maintient en place, croyant encore qu’il est indispensable à nos vies, au risque de retomber à l’âge de pierre.

Au risque d’être trop pessimiste, d’une certaine manière nous creusons nos propres tombes.Mais ce qui est nouveau par rapport à l’histoire de notre humanité c’est que cette fois ci nous le faisons en notre âme et  conscience.

  • La science est devenue toute puissante et ce qui est scientifiquement démontré est jugé comme vrai.

Pourtant la science est loin d’être aussi objective qu’elle n’y parait. Produites par l’homme les preuves scientifiques varient en fonction des méthodes d’analyse utilisées et de l’analyste lui même. De plus la science ne mène ces investigations que dans le domaine du mesurable, du quantifiable.

Dans l’organisme  de nombreux éléments sont non mesurables en routine comme les émotions, l’inconscient ou les flux énergétiques. Ne pas prouver scientifiquement l’existence de quelque chose ne signifie pas qu’il n’existe pas.

Par ailleurs la plupart des études scientifiques coutent très chères et sont  financées par l’industrie pharmaceutique, qui en toute logique souhaite récupérer ses investissements par la vente de ses produits.

Ceci génère automatiquement des conflits d’intérêt avec la mise sur le marché de nouveaux médicaments parfois inutiles et au pire dangereux. Ceci explique pourquoi la science médicale s’intéresse si peu aux moyens de soins naturels et préfère engager ses recherches dans des traitements chimiques complexes et des modes d’investigations toujours plus sophistiqués.

Mais ne soyons pas trop critique car à ce jour sans cette industrie notre médecine n’aurait probablement pas autant et rapidement progressé puisque les pouvoirs publics ne financent que très peu la recherche médicale.

La recherche en cardiologie en France depuis quelques années est au point mort.Nous sommes bien loin par rapport aux autres pays européens. Est ce que ce coup de frein ne serait pas, en partie, du aux diverses campagnes de dénigrement systématiques concernant les nouveaux médicaments mis sur le marché aboutissant parfois a leur déremboursement ou même a leur retraits  pour des raisons qui semble plus démagogiques  que pharmacologiques.

Vivre de manière juste c’est adopter un mode de vie qui nous permet de souffrir le moins possible physiquement et  psychologiquement, et qui soit en accord avec la Nature, nos racines les plus anciennes et les plus profondes. Vivre de manière juste c’est progressé et grandir en coopération avec l’environnement comme en témoigne la longue évolution de l’homme.

Selon le modèle Darwinien ceux qui subsistent au cour de l’évolution ne sont pas les plus êtres les forts mais les individus qui ont la plus grande capacité à s’adapter et à créer des liens sociaux.

Beaucoup de recherches en neuroscience tendent à démontrer que le cerveau de l’être humain ne peut se développer que si il est en relation avec un autre cerveau.C’est la raison pour laquelle l’échange des savoirs existe depuis la nuits des temps.Un seul être vivant sur terre ne pourrait pas, mécaniquement vivre ni même exister.

Le « mode de vie juste » infléchit le taux des maladies cardiovasculaires que ce soit en prévention primaire ou secondaire et ceci de manière très largement significative. Mais c’est efficace aussi pour beaucoup d’autres maladies comme les dégénérescences cognitives (maladie Alzheimer), les maladies systémiques auto-immunes, les cancers  ou de manière plus générale pour vivre mieux et plus longtemps..

Trois axes permettent à l’humain de vivre en accord avec son environnement :

  • L’équilibre émotionnel
  • Les activités physiques et sportives (APS)
  • L’alimentation équilibrée

 

– L’équilibre émotionnelillustrations, cliparts, dessins animés et icônes de intelligence émotionnelle, équilibre sentiment de contrôle des émotions entre le travail stressé ou la tristesse et le concept de style de vie heureux, femme calme consciente utilisant sa main pour équilibrer le sourire et le visage triste. - equilibre emotionel à la première place car sans lui il est bien difficile d’appliquer les deux autres recommandations. Par ailleurs une alimentation équilibrée favorisera la pratique des APS et sera aussi sédative au plan psychique. Et le sportif est bien plus motivé pour surveiller son alimentation.Ces trois facteurs se potentialisent les uns des autres. L’équilibre émotionnel fait référence ici a l’intelligence émotionnelle c’est a dire notre capacité identifier, comprendre, raisonner et gérer nos propres émotions puis celles des autres. C’est aussi décoder les messages de notre corps comme les premiers stigmates d’une maladie par exemple. L’équilibre émotionnel ne tombe pas du ciel. Il exige de nous des efforts pour que notre regard se tourne vers l’intériorité et apprendre a « muscler » son cerveau pour être notamment d’avantage présent dans son corps. De nombreuses études  (cf les ouvrages de Daniel Goleman) démontrent que le bonheur et le succès dans la vie, notamment chez les enfants, dependent d’avantage du quotient emotionnel que du quotient intellectuel. Les performances intellectuelles des étudiants (étude de Harvard) ne permet pas de prédire leur niveau de réussite professionnelle et encore moins leur niveau de bonheur. Autrement dit, les notes sont moins importantes que la gestion des émotions pour réussir sa vie.

 

aliments sains pour le cœur. poisson frais, fruits, légumes, baies et noix. une alimentation saine, alimentation et concept de la santé du coeur - alimentation santé photos et images de collection L’alimentation équilibrée n’a rien à voir avec le « régime ». Il s’agit de consommer des aliments en pleine conscience qui stimulent nos capacités d’auto guérison, de défenses immunitaires et d’éviter ceux qui sont toxiques pour l’organisme. Il semble nécessaire pour consommer a bonne escient et ralentir l’épidémie d’obésité  de savoir reconnaitre les signaux physiques de la faim et de la satiété (cf chapitre sur l’obésité et le surpoids).

 

 

illustrations, cliparts, dessins animés et icônes de activités sportives professionnelles. hommes femmes sportifs - activité physique et sportiveLes APS ont des vertus thérapeutiques multiples dont l’efficacité est largement confirmée par de solides études scientifiques.

Dans les pages qui vont suivre vous trouverez des informations »officielles » portant sur l’exercice physique et l’alimentation. A ce jour leurs vertus thérapeutiques font l’unanimité et la plupart d’entre vous ont déjà de solides connaissances en ce domaine.

 

Mais parfois les médias diffusent des données contradictoires. Votre entourage peut aussi vous inquiéter quant à votre état de santé en reprenant essentiellement le versant négatif de ce qui est diffusé dans la presses .

Par la suite j’ai particulièrement insisté sur les liens entre le cœur et le cerveau car ces deux organes sont étroitement liés ne serait ce que anatomiquement.Même si le coeur dépend du cerveau comme tous les autres organes, celui si a sa propre intelligence et peut a son tour modifier le fonctionnement cérébrale.Coeur et cerveau dialoguent ensemble.

C’est aussi une manière de pénétrer dans la médecine intégrative et holistique c’est à dire cette médecine ancestrale qui comprend l’organisme comme un ensemble sans séparer les différents éléments du corps et en particulier l’esprit. Corps et psychisme n’ont jamais autant été clivé qu’actuellement.

J’ai introduit des notions qui ne rentrent pas toutes dans la médecine officielle mais qui ont pourtant de solides bases scientifiques.

Par exemple il y a  25 ans les bénéfices des APS dans le domaine de la santé n’étaient pas admis par tous. Aujourd’hui la médecine alternative et complémentaire (MAC) qui fait appel à des pratiques médicales comme la phytothérapie, la micro nutrition, la psycho immunologie, l’acuponcture, l’hypnose médicale ou de la méditation laïque en pleine conscience sont pratiquées dans de nombreux CHU.

Ces différents courants médicaux n’excluent en rien la médecine « officielle ». Au Canada, les étudiants en médecine, qui présentent un fort taux de dépression et de trouble anxieux (20% ce qui est largement au dessus de la moyenne de la population) voit intégré systématiquement dans leur programme d’études la méditation laïque ou de la cohérence cardiaque.

Je n’ai personnellement pas compris le réquisitoire (été 2018) contre l’homéopathie, signé par des grands pontes de la médecine, qui a jeter l’opprobre sur toutes une pharmacopée utile , peu couteuse et parfois appuyer par de solides études notamment chez l’animal avec dés la suppression des DIU d’homéopathie.

Ceci est un point essentiel ; la médecine alternative est complémentaire à la médecine traditionnelle mais elle ne la remplace pas.Parfois les MAC ne sont pas adapté a la pathologie et il faut avoir recours aux traitements chimique.

Toutes ces techniques de soins peuvent être pratiquées par des médecins qui se sont formés ou des non médecins et être tout aussi qualifiées.

Les MAC sont peu ou pas enseignées dans nos facultés de médecine en France et sont souvent même méprisées par nos grands professeurs de médecine tout simplement par ce qu’ils ne les connaissent pas.

C’est une évidence, éviter la maladie revient finalement a prendre soin de soi et a essayer de modifier, si il le faut sa manière de vivre et même parfois sa façon de voir la vie et ce a la lumière des dernières avancées de la science médicale.

« Notre corps réagit bien souvent par la maladie devant le mépris prolongé de ses fonctions vitales » Dr Francoise Dolto

C’est un projet plus qu’ambitieux que de porter un regard objectif sur notre façon de vivre et ceci est particulièrement difficile tant nous avons l’habitude de responsabiliser l’entourage ou nos événements de vie plutôt que de se remettre en question soi même.

Tourner le regard vers soi exige aussi beaucoup de bienveillance car la culpabilité est inutile et le meilleur frein au changement.

D’une manière générale et fort heureusement ce qui est bon pour notre santé est bon tout court.

Mieux manger, plus bouger et voir la vie du bon coté augmente notre capital bonheur et notre bien être. La société et la médecine actuelle nous proposent et nous donnent les moyens d’aller encore mieux. Il n’y a pas un jour, que ce soit dans la presse, à la radio où a la télévision ou il n’est pas diffusé des informations ou des conseils concernant notre santé. Cette fois on ne pourra pas dire que nous ne savions pas.

Et pour terminer cette introduction, j’aimerai évoquer le problème de la prescription allopathique. Ce n’est pas parce que nous sommes ouvert a la médecine intégrative et « naturelle » qu’il faut systématiquement jeter le discrédit sur les traitements chimiques traditionnels qui sont dans bons nombres des cas incontournables.Utilisé avec parcimonie certains sont d’une redoutable efficacité, dénué d’effets indésirables et remboursé par la sécurité sociale.A ce jours beaucoup de patient cessent leur thérapeutique sans en avertir le prescripteur et « font leur sauce » avec des traitements de substitutions.

Au moindre symptômes ressenti c’est le médicament prescrit qui est responsabilisé. Une manière inconsciente de nier la maladie et son évolution. « Je ne suis pas malade, je suis intoxiquè par le medicament « .

Ce nouveau mécanisme de défence face a la maladie pose un certains nombres de difficultées . Tous d’abord un médicament prescrit par un professionnel de santé est censé être pertinent et sa remise en cause rompt le lien de confiance entre le malade et son médecin. Ensuite l’arrêt du traitement peut être dangereux car le patient n’est pas capable d’évaluer précisément les risques de l’évolution de sa maladie qui lui est par définition propre et unique. Ensuite accusé le traitement est une manière de se déresponsabiliser de sa pathologie, de la mettre a distance et de n’opérer aucun changement pour la contrôler.

Si vous avez des doutes sur votre traitement parlez en au prescripteur…

Par ailleurs depuis quelques années sont apparus des patients qui survalorisent le changement positif de leur mode de vie au point de stopper leur traitement et même le suivie médical. Il s’agit, bien entendu d’un nouveau mécanisme de défense face a la maladie.En tant que médecin je sais combien la position du patient peu être inconfortable, que l’examen médical même est parfois vécu comme une effraction de son intimité. Mais aillez a l’esprit que le médecin aide, accompagne mais c’est vous qui garder la main sur votre santé et  vous este le seul maitre a bord!!

Par ailleurs ils est tout autant stupide et inexacte de croire que la médecine des plantes n’a qu’un effet placebo sur l’organisme  que de prendre les traitement conventionnel comme du poison ou une drogue dont on ne  pourra plus jamais se débarrasser. Le record est avec les statines que les patients dénigrent systématiquement et j’ai personnellement entendu des choses bien curieuses. Un patient m’affirmait que le traitement était responsable de son divorce et un autre qu’il était responsable de son cancer rectale !!

Comme je l’ai signaler plus ce site est régulièrement enrichi en fonction de l’actualité médicale. Il commence a être indigeste, alors consulter le comme une encyclopédie. N’hésiter pas a utiliser la fonction « recherche » dans la partie noire ci dessous.

Par ailleurs bons nombres d’informations initialement innovantes il y a 20 ans (ou j’ai commencé a compiler ces donnés) vous paraîtrons a ce jour évidentes.

Quelques fautes orthographes ont probablement échappées aux nombreuses relectures du texte. J’en suis désolé mais c’est pour vous la première occasion de travailler l’indulgence, qualité si précieuse pour avoir un cœur en bonne santé.

Bonne lecture

illustrations, cliparts, dessins animés et icônes de le concept de personnes - cohérence cardiaque

AJR : Apport Journalier Recommandé
AVC : Accident Vasculaire Cérébral
Cho : Cholestérol
CC : Cohérence Cardiaque
FRCV : Facteur de Risque CardioVasculaire
FC : Fréquence Cardiaque
HTA : HyperTension Artérielle
IDM : Infarctus Du Myocarde
MAC : Médecines Alternatives et Complémentaires
MCV : Maladie CardioVasculaire
MS : Mort Subite
SRA : Système Nerveux Autonome
SNC : Système Nerveux Centrale : cerveau et moelle épinière
TIPI : Technique d’Identification des Peurs Inconscientes
TCC : Thérapie Cognitivo-Comportementale
Vit : Vitamine
Ω : Omega
Glossaire